Chères amies, chers amis,
Nous y sommes. Que cette période fut pénible… Le mauvais temps récurrent contribua sans aucun doute à cette fatigue du moment. C’est donc avec une joie réelle que je vous souhaite – que vous partiez ou non là-haut, dans la montagne – d’excellentes vacances d’hiver. En attendant un printemps espéré qui tel un libérateur, viendra chasser froid et humidité pour installer peu à peu sa lumière renouvelée et sa chaleur balbutiante mais tellement bienfaisante, déjà…