Catégorie : Video

  •  » The Spiral « 

    N’avez-vous jamais entendu parler de cette série unique, The Spiral, étonnamment déclinée en temps réel, en plus de la diffusion à la télévision, sur le web ainsi que sur Tweeter.

    Petite introduction :

    Voici des années qu’Arturo, un artiste célèbre, dont le monde ne connaît que la signature en forme de spirale, fait le coup de poing contre l’establishment financier, politique, mais aussi culturel, de l’Europe. Ses happenings spectaculaires, qui dénoncent les dérives du capitalisme contemporain et la complicité des pouvoirs en place, ont coûté des millions aux États, mais il demeure insaisissable. Un enquêteur de choc, Juha Virtanen, vient épauler la jeune Roos Dubois, chef de la section artistique d’Europol, et découvre une piste…

    ARTE propose durant une semaine de revoir les cinq épisodes. Ne loupez pas l’occasion.

    Une seule adresse à retenir :

    http://www.arte.tv/fr/les-episodes/6871028.html

    Voilà ce qui figure sur le Blog d’ARTE : « The Spiral » est un dispositif inédit : une série télévisée, un jeu et une plate-forme de création participative avec pour ambition de créer une communauté internationale. Première série crossmédia européenne, elle est diffusée simultanément dans neuf pays, à la fois précédée et accompagnée du site internet thespiral.eu.

  • Un pur bonheur

    Très pris actuellement, je n’ai guère le temps de m’arrêter ici… Mais l’occasion était trop belle. Oh, la situation est connue, très connue. Loin d’être nouvelle. Mais personnellement, je ne m’en lasserai jamais. Voir d’abord la surprise sur ces visages, l’étonnement – bien sûr – puis, au fur et à mesure, l’admiration prend place qui se transforme imperceptiblement en véritable communion dans le public. Une joie éphémère. Un pur bonheur…

    PS : Merci Martine…

     

  • Droit de réponse

     Michel POLAC s’en est allé le 7 août 2012 dernier.

    Pour mémoire, revenons une trentaine d’années en arrière, un samedi soir, un certain 11 juin 1982 et voici un gros quart d’heure de son émission emblématique « Droit de réponse ». On y parle de la fin du journal Charlie Hebdo. Observons – avec curiosité pour certains – ce ton si étonnant, ces fumées irréelles, ce fouillis improbable… Retrouvons-y Wolinski, Cavanna, Desproges, Gainsourg (très remonté), Jean-François Kahn, les Starshooters et tant d’autres…

  • Vol de nuit

    Mercredi 8 août le Cessna 172 s’est envolé dans le ciel couleur ardoise d’Alsace. Un petit tour vers le Mont Sainte Odile et puis retour. Quelle dimension ! Tant de lumières dans cette nuit noire… Merci encore sincèrement, Nathalie et Patrick !

  • 6 août 2012, à 07h31…

    Demain lundi, viagra à 7h31 (heure de Paris), here après un voyage interplanétaire de plus de 8 mois, la mission Mars Science Laboratory (MSL) arrivera enfin à destination de Mars.

    Appréciez ce petit film…

  • RIP Jon Lord

     

    Jon Lord, claviériste du mythique groupe de rock britannique Deep Purple et coauteur de leur titre le plus célèbre «Smoke on the Water», est décédé à l’âge de 71 ans.

    http://www.dailymotion.com/video/xcujr_deep-purple-smoke-on-the-water_music

  • Le Vél’ d’Hiv’

    Il y a soixante-dix ans –  Déportation de plus de 13.000 Juifs arrêtés à Paris par la police française.

    Aux 50 % des moins de 35 ans, qui devraient méditer cette parole : « Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre » (Winston Churchill)….

    http://www.youtube.com/watch?v=klT_t3mLAU0

    (Extrait du film « Elle s’appelait Sarah » 
    UGC Distribution – 13 octobre 2010)

  • La Part des Anges

    Enfin !

    Ca faisait un certain temps que nous l’attendions, la perle rare du moment. Eh bien c’est fait ! Incontestablement !

    Ce fim signé Ken Loach et sorti le 27 juin 2012 est tout simplement extraordinaire ; quel rythme, quels acteurs, quelles images, quelle musique, bref : rien à redire !

    Il n’y a en effet aucun temps mort dans ce film. L’histoire devient vite passionnante emmenée par des actrices et acteurs de premier plan :

    Paul Brannigan
    Robbie

    Jasmin Riggins
    Mo

    Roger Allam
    Thaddeus

    Joe Henshaw
    Harry

    Gary Maitland
    Albert

    Siobhan Reilly
    Leonie

    William Ruane
    Rhino

    Charles MacLean
    Rory McAllister (suite…)

  • Un autre 14 juillet

    C’était il y a déjà trente-trois ans, à l’autre bout du monde. En Nouvelle-Zélande, sur le terrain devenu mythique de l’Eden Park, à Auckland, devant 55 000 spectateurs. L’arbitre était John West (IRL)

    Nouvelle Zélande : 2 essais de Stu Wilson (24e) et Mourie (80e) ; 3 pénalités (19e, 41e, 62e) et 1 transformation (80e) de Bevan Wilson.

    France : 4 essais de Gallion (38e), Caussade (40e), Averous (42e), Codroniou (59e) ; 1 pénalité (10e) d’Aguirre ; 1 drop de Caussade (57e), 1 transformation de Caussade (59e)

    Le XV de France, ce 14 juillet 1979 :

    Aguirre (Bagnères),
    Costes (Montferrand),
    Mesny (Grenoble),
    Codorniou (Narbonne),
    Averous (la Voulte) (o)
    Caussade (Lourdes) (m)
    Gallion (Toulon),
    Joinel (Brive),
    Salas (Narbonne),
    Rives (Cap, Toulouse),
    Maleig (Oloron),
    Haget (Biarritz),
    Dubroca (Agen),
    Dintrans (Tarbes),
    Paparemborde (Pau).

    Entraîneur : Jean « Toto » Desclaux

    Nous vous laissons apprécier ces presque dix minutes de bonheur, avec – cerise sur le gâteau – les commentaires du regretté Roger Couderc et de l’excellent Pierre Albaladejo.

  • C’est vous

     

    (…)

    A vous regarder sourire,
    A vous aimer, sans rien dire,
    C’est là que j’ai compris, tout à coup,
    J’avais fini mon voyage,
    Et j’ai posé mes bagages,
    Vous étiez venue au rendez-vous,
    Qu’importe ce qu’on peut en dire,
    Je tenais à vous le dire,
    Ce soir je vous remercie de vous,
    Qu’importe ce qu’on peut en dire,
    Je suis venu pour vous dire,
    Ma plus belle histoire d’amour, c’est vous…

  • Close to you…

    (…)

    On the day that you were born
    The angels got together and decided
    To create a dream come true

    (…)

  • La Quête

    La Quête :

    Rêver un impossible rêve
    Porter le chagrin des départs
    Brûler d’une possible fièvre
    Partir où personne ne part

    Aimer jusqu’à la déchirure
    Aimer, même trop, même mal,
    Tenter, sans force et sans armure,
    D’atteindre l’inaccessible étoile

    Telle est ma quête,
    Suivre l’étoile
    Peu m’importent mes chances
    Peu m’importe le temps
    Ou ma désespérance
    Et puis lutter toujours
    Sans questions ni repos
    Se damner
    Pour l’or d’un mot d’amour
    Je ne sais si je serai ce héros
    Mais mon coeur serait tranquille
    Et les villes s’éclabousseraient de bleu
    Parce qu’un malheureux

    Brûle encore, bien qu’ayant tout brûlé
    Brûle encore, même trop, même mal
    Pour atteindre à s’en écarteler
    Pour atteindre l’inaccessible étoile

    Jacques Brel
    Barclay 1968

    [dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x367lz_jacques-brel-la-quete_music[/dailymotion]

     

  • « The Wire » (dialogue minimal) :o)

    http://www.youtube.com/watch?v=6sNZ7ulO1RQ

    Une suite dialoguée très particulière, un minimalisme surprenant. Ce que l’on peut faire, avec un mot quand même 🙂

    Pour information, cette série américaine, The Wire, diffusée par HBO entre 2002 et 2008, traite de la criminalité dans la ville de Baltimore, au travers du regard des divers protagonistes qui composent la société locale. La critique avait encensé cette production qui n’a pourtant pas franchement percé par la suite. Son style proche du documentaire, très réaliste, a contribué à son succès. The Wire a été considéré par plusieurs journaux comme étant la meilleure série diffusée à la télévision.

    Liens :

    The Wire sur Allociné
    HBO : la page The Wire
    The Wire sur imdb.com
    La page Wikipedia de la série

  • Il suffirait de presque rien…

    Retomber sur cette chanson après l’avoir presque oubliée, quel instant merveilleux… Une nouvelle découverte, en quelque sorte. Mais quelles paroles les amis !… C’est simplement splendide. Quel immense interprète, Serge REGGIANI (qui nous a quittés le 23 juillet 2004 déjà)…

    Il suffirait de presque rien…

    Les paroles sont de Jean-Max Rivière et la musique de Gérard Bourgeois (1968 « Moi j’ai le temps »).

  • Si…

    Kippling a écrit ce poème à l’attention de son unique fils, John, âgé alors de 13 ans en 1910.


    Si

    Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie
    Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir,
    Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties
    Sans un geste et sans un soupir ;

    Si tu peux être amant sans être fou d’amour,
    Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre,
    Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,
    Pourtant lutter et te défendre ;

    Si tu peux supporter d’entendre tes paroles
    Travesties par des gueux pour exciter des sots,
    Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles
    Sans mentir toi-même d’un mot ;

    Si tu peux rester digne en étant populaire,
    Si tu peux rester peuple en conseillant les rois,
    Et si tu peux aimer tous tes amis en frères,
    Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ;

    Si tu sais méditer, observer et connaître,
    Sans jamais devenir sceptique ou destructeur ;
    Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître,
    Penser sans n’être que penseur ;

    Si tu sais être dur, sans jamais être en rage,
    Si tu sais être brave et jamais imprudent,
    Si tu sais être bon, si tu sais être sage,
    Sans être moral et pédant ;

    Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite
    Et recevoir ces deux menteurs d’un même front,
    Si tu peux conserver ton courage et ta tête
    Quand tous les autres les perdront,

    Alors les Rois les Dieux la Chance et la Victoire
    Seront à tout jamais tes esclaves soumis,
    Et, ce qui vaut bien mieux que les Rois et la Gloire,
    Tu seras un homme mon fils !

    Traduction : André Maurois (1918)

    Rudyard Kipling, un auteur si cher à mon coeur, à plus d’un titre…