Catégorie : Humeurs

Nous agissons tous parfois en fonction de nos humeurs. Il en sera de même dans ce blog.

  • Top Zéro…

    Ici, nous sommes dans la neuvième circonscription des Bouches-du-Rhône. Ici, ça fait deux législatives qu’on nous impose des candidats hors PS (résultat des tractations nationales avec les partis amis)… Ici, nous sommes fatigués de constater cette catastrophe en cours dont personne ne veut – ou ne peut – prendre en compte…

    Plaçons-nous au dessus des partis. Observons. Et que voyons-nous ?

    Une candidature Front de Gauche, une candidature EELV, une candidature Extrême-Gauche, une candidature Divers Gauche… Grande dispersion. Mais le plus désolant est de constater que les deux principaux candidats, ceux d’EELV et du FG, ont le don de s’ignorer superbement et d’ignorer en même temps le risque qu’ils font courir aux milliers d’électrices et d’électeurs qui – comme nous – désespèrent de ne pas voir une Gauche unie pour ces élections : celui d’offrir sur un plateau la réélection de l’UMP sortant !

    Oh, nous entendons déjà certains nous répondre « mais nous sommes en campagne depuis très longtemps maintenant », d’autres nous rétorquer « nous avons toute la légitimité pour mener cette campagne ! », bref : on n’est pas sortis de l’auberge, comme on dit.

    Nous rêvons d’un monde où les candidat-e-s de la Gauche dans notre circonscription seraient UNE BONNE FOIS POUR TOUTES capables de faire passer l’intérêt général avant leurs intérêts particuliers.

    Nous rêvons d’une Gauche locale où l’égo surdimensionné de chaque prétendant-e se transformerait en humilité.

    Alors seulement nous pourrions raisonnablement réaliser cette mission qui est la nôtre : virer l’UMP sortant ! Car c’est loin d’être impossible (et c’est bien là le drame !)…

    Mais ce n’est qu’un rêve… Pauvre Gauche locale ! En l’état actuel des choses, il est urgent de revenir sur terre : tout n’est et ne sera qu’illusions et hypocrisie…

  • Top 4 !!!

    Voilà c’est fait (mais que de frayeurs)… Le RCT est en demi-finale !!!

    Ce n’est qu’en deuxième mi-temps que le RCT a pu reprendre le dessus. Et de quelle manière ! Un essai Armitage (67e) ; quatre pénalités de Wilkinson (34e) et de Giteau (58e, 60e, 80e) !

    Rendez-vous le 3 juin à Toulouse pour ce match qui reliera le sud méditerranéen aux sommets volcaniques de cette surprenante et magnifique Auvergne. Et pour joindre – non pas un geste à ma parole, mais une image à mes propos :

     

  • Du Top 14 au Top 4 puis au Top 2 ?…

    Ce soir, dans le cadre des phases finales du Top 14, le XV du Castres Olympique rencontre celui du Montpellier Hérault Rugby (et Castres a gagné !!!).

    Mais demain samedi, l’autre match de barrage…
    Toulon recevra le Racing-Métro…
    Et la suite ?
    Le vainqueur Castres se retrouvera devant le Stade Toulousain. Et celui du match RCT/Racing-Metro rencontrera… L’ASM !

     

    Imaginons que nous ayons une demi-finale entre le Rugby Club Toulonnais et l’ASM Clermont Auvergne… Eh bien personnellement ce sont mes deux préférés de tout le Top 14. Ce sera dur… Mais ce sera beau !

    Quant à la finale… Elle aura lieu le 9 juin 2012 et au  Stade de France.

    Des rives de la Méditerranée au pied des volcans d’Auvergne, allez tout le monde !

    Edit. : Le RCT, après bien des frayeurs, est parvenu à vaincre le Racing et rencontrera donc le XV de l’ASM Clermont-Auvergne en demi-finale !!!

  • Sorbetisation (suite)

    Nous avons retesté pour vous…

    Dans le cadre du défi fixé (celui de tester les cinquante parfums proposés), voici le dernier sorbet sur lequel nous nous risquâmes. L’adresse n’avait pas changé, le nom de l’enseigne non plus (l’Ecume des Glaces) ni le sorbet Guinness, toujours à gauche (pourquoi diable changerait-il ?) sur notre photo. La nouveauté gustative du jour fut d’abord surprenante syntaxiquement : « Citron vert au piment d’Espelette ». A droite. Mais bon. Quel goût ! (Nous reparlerons de ce concept de goût en fin d’article). Une véritable épopée : la finesse rafraichissante du délicieux citron vert qui se fait peu à peu doubler par une imperceptible réaction linguale : ça pique ! (suite…)

  • Un rêve ?…

    Etait-ce un rêve ? Moments rares, instants éternels…
    Ai-je rêvé ? Une voix, un regard, un sourire, un rire…
    Rêvions-nous ? Un début, un commencement, une espérance…
    Rêverie ? Partage, confiance, avenir…

    C’était comme dans un rêve, mais je ne rêvais pas…

    Pour couronner ces instants, ce grand moment. Arthur Rubinstein en personne interprétant le célébrissime morceau de Frantz Liszt intitulé « Liebestraum n°3 ». Autrement appelé « Rêverie d’Amour »… Laissez-vous bercer…


    « Love knows no limit »…


  • Ecumons les glaces !

    Nous avons testé pour vous…

    L’Ecume des Glaces, à La Ciotat… Quel accueil ! Et quelle carte ! Nous nous sommes portés volontaires (ce fut très pénible) pour une spécialité parmi tant d’autres : le sorbet (légendaire) à la Guinness (à gauche) qu’accompagnait de fort belle manière celui à la banane (à droite) (n’y voyez surtout aucune allusion politique)…


    « Si on n’a pas goûté de sorbet Guinness à 50 ans on risque pas de rater sa vie mais c’est quand même dommage »…

    Bravo, Stef et Cathy !

    8, place Sadi Carnot (derrière l’église du Port Vieux)
    13600 LA CIOTAT

    Tel : 06 28 25 50 11

    OUVERT DU MARDI AU DIMANCHE
    Fermé en cas de mauvais temps

    Horaires :

    De 9h00 à 19h00 du mardi au samedi
    Et le dimanche de 9h00 à 16h00
    FERME LE LUNDI (closed on monday)

    http://ecumedesglaces.e-monsite.com/

  • Enfin…

    J’attendais cette photo depuis cinq ans…


    (Photo : L’Express)

  • Espérances…

    http://youtu.be/aNDDKU1cTWk

  • L’Apple II a trente-cinq ans !

    Apple II ? Qu’est-ce donc ?…

    Une machine formidable certainement à l’origine de la légende d’Apple. Je me souviens de celui que j’avais racheté d’occasion à l’un de mes cousins – je l’ai toujours dans un carton (l’Apple II, pas mon cousin) : le moniteur posé sur le prolongement du clavier et les deux lecteurs de disquette souples 5 pouces 1/4…

    Evidemment, si l’on se met à comparer les performances de cet ordinateur, nous risquons de les trouver à des années-lumière des technologies contemporaines. Il n’empêche, en replaçant les choses dans leur contexte, cet appareil, l’Apple II, mit véritablement Apple sur les rails du succès que l’on connaît aujourd’hui.

    Rappelons que le premier ordinateur conçu par les deux Steve (Wozniak et le regretté Jobs) fut l’Apple I :

    Sortie : avvril 1976
    Production : 200 unités
    Processeur MOS Technology 6502 (8 bits)
    Prix : 666,66 $
    Fin de production : mars 1977

    En avril 1977 sortit l’Apple II : l’un des ordinateurs qui fut le premier fabriqué à grande échelle. L’ordinateur comportait un tableur (VisiCalc) qui ouvrit les portes de l’Apple II au monde professionnel (ce qui ne fut pas négligeable à cette période d’existence de l’entreprise Apple).

    Dans les années 1980 de nouvelles versions virent le jour et l’Apple II fut vendu jusqu’en 1993 !!! L’architecture du processeur était toujours à 8 bits. Ainsi fut présenté l’Apple IIe (« e » pour « enhanced », « amélioré ») muni de nouvelles puces, avec une RAM de 64 Ko extensible à 128 Ko (!!!), en option, une carte « 80 colonnes », et prenait en compte majuscules et minuscules. C’est ce modèle que j’ai dans un carton :

    • Processeur : MOS Technology 6502 8 bit à 1 MHz
    • Bus système : 1 MHz
    • RAM : 64 Ko, extensible à 128 Ko
    • ROM : 16 Ko
    • Affichage : 24×40 caractères. couleur 1 bit (monochrome) en 560×192, 6 couleurs en 280×192, couleur 4 bit (16 couleurs) en 140×192
    • Son : Haut parleur interne
    • Lecteur : disquette, cassettes audio
    • Slots d’extension : 8 ports propriétaires
    • Ports : sortie vidéo composite

    Au démarrage, selon mes souvenirs lointains, sur l’une des disquettes se trouvait le système d’exploitation. Sur le deuxième lecteur on mettait la disquette contenant le programme (utilitaires ou jeux). Pour imprimer, j’avais une imprimante à aiguilles LX 800, d’Epson (9 aiguilles. Résolution 10x12cpi. Avec système d’entraînement pour listing).

    Le 24 janvier 1984 sera lancé le premier Macintosh : le Macintosh 128K. Il constitue le premier succès commercial pour un ordinateur utilisant une souris et une interface graphique (au lieu d’une interface en ligne de commande). Mais ça, c’est une autre histoire…

    L’Apple IIe… Toute une époque… Passionnante période où l’informatique fit son entrée dans mon existence. Une pomme aux couleurs de l’arc-en-ciel la surplombait. C’était le début d’une longue et belle histoire…

    Joyeux anniversaire l’Apple II ! Et longue vie à Apple Inc. !

  • Je sais, je sais…

    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=YDuld41PCV8

  • Ô temps ! Suspends (juste un peu) ton vol (stp !)…

    Eh bien voilà… En faisant les courses, je croisais des parents d’élèves qui me reconnurent ; je m’étais occupé de leurs deux enfants alors âgés de 7 et 10 ans. C’était hier. Enfin je le pensais… Quand le papa appelle son fils à quelques mètres de là. Il arrive. Première réaction de ma part : « Comme il a grandi ! » Et la maman de préciser « Il a eu vingt ans la semaine dernière »… Avant de me donner des nouvelles de la petit soeur qui – elle – avait dix-sept ans ! Ah ! Que j’eusse apprécié à cet instant précis, pour m’aider à digérer tout ça, une chaise qu’aurait bien accompagné un petit remontant. Rien de tout cela. Mais je tins bon !… Nous discutâmes ainsi durant quelques minutes. Mon ancien élève avait trouvé sa voie dans l’apprentissage et avait, par ailleurs, remarquablement progressé depuis.

    Nous nous séparâmes ensuite. Et je pensais aux années qui passent. Sans bruit, discrètement… Je revoyais cet élève dans des séances de lecture. Et je me dis que notre métier est tout de même fabuleux. Oh, nous n’avons pas de stock-options ou de parachutes dorés en cas de fermetures de postes, mais nous avons cette possibilité extraordinaire : celle de la transmission des savoirs et de la connaissance. Celle d’accompagner certains élèves, de pouvoir agir à leur côté afin de les rendre plus forts, plus sûrs d’eux.

    Alors, quand tant d’années après nous arrivent de telles rencontres, nous prenons la pleine dimension de ce métier et nous repartons contents et satisfaits vers demain. Nous retrouverons d’autres enfants de six à dix ans qui – je le sais – deviendront grands un jour…

  • We Want Sex Equality : What a film !

    Au printemps 68 en Angleterre, une ouvrière découvre que, dans son usine, les hommes sont mieux payés que les femmes. En se battant pour elle et ses copines, elle va tout simplement changer le monde…

    Quelle lutte !…

    Avec l’actrice Sally Hawkins ; vous savez : l’institutrice pétillante dans « Be Happy » !