Auteur/autrice : Laurent KAROUBY

  • Top 4 !!!

    Voilà c’est fait (mais que de frayeurs)… Le RCT est en demi-finale !!!

    Ce n’est qu’en deuxième mi-temps que le RCT a pu reprendre le dessus. Et de quelle manière ! Un essai Armitage (67e) ; quatre pénalités de Wilkinson (34e) et de Giteau (58e, 60e, 80e) !

    Rendez-vous le 3 juin à Toulouse pour ce match qui reliera le sud méditerranéen aux sommets volcaniques de cette surprenante et magnifique Auvergne. Et pour joindre – non pas un geste à ma parole, mais une image à mes propos :

     

  • Du Top 14 au Top 4 puis au Top 2 ?…

    Ce soir, dans le cadre des phases finales du Top 14, le XV du Castres Olympique rencontre celui du Montpellier Hérault Rugby (et Castres a gagné !!!).

    Mais demain samedi, l’autre match de barrage…
    Toulon recevra le Racing-Métro…
    Et la suite ?
    Le vainqueur Castres se retrouvera devant le Stade Toulousain. Et celui du match RCT/Racing-Metro rencontrera… L’ASM !

     

    Imaginons que nous ayons une demi-finale entre le Rugby Club Toulonnais et l’ASM Clermont Auvergne… Eh bien personnellement ce sont mes deux préférés de tout le Top 14. Ce sera dur… Mais ce sera beau !

    Quant à la finale… Elle aura lieu le 9 juin 2012 et au  Stade de France.

    Des rives de la Méditerranée au pied des volcans d’Auvergne, allez tout le monde !

    Edit. : Le RCT, après bien des frayeurs, est parvenu à vaincre le Racing et rencontrera donc le XV de l’ASM Clermont-Auvergne en demi-finale !!!

  • Sorbetisation (suite)

    Nous avons retesté pour vous…

    Dans le cadre du défi fixé (celui de tester les cinquante parfums proposés), voici le dernier sorbet sur lequel nous nous risquâmes. L’adresse n’avait pas changé, le nom de l’enseigne non plus (l’Ecume des Glaces) ni le sorbet Guinness, toujours à gauche (pourquoi diable changerait-il ?) sur notre photo. La nouveauté gustative du jour fut d’abord surprenante syntaxiquement : « Citron vert au piment d’Espelette ». A droite. Mais bon. Quel goût ! (Nous reparlerons de ce concept de goût en fin d’article). Une véritable épopée : la finesse rafraichissante du délicieux citron vert qui se fait peu à peu doubler par une imperceptible réaction linguale : ça pique ! (suite…)

  • Un rêve ?…

    Etait-ce un rêve ? Moments rares, instants éternels…
    Ai-je rêvé ? Une voix, un regard, un sourire, un rire…
    Rêvions-nous ? Un début, un commencement, une espérance…
    Rêverie ? Partage, confiance, avenir…

    C’était comme dans un rêve, mais je ne rêvais pas…

    Pour couronner ces instants, ce grand moment. Arthur Rubinstein en personne interprétant le célébrissime morceau de Frantz Liszt intitulé « Liebestraum n°3 ». Autrement appelé « Rêverie d’Amour »… Laissez-vous bercer…


    « Love knows no limit »…


  • Ecumons les glaces !

    Nous avons testé pour vous…

    L’Ecume des Glaces, à La Ciotat… Quel accueil ! Et quelle carte ! Nous nous sommes portés volontaires (ce fut très pénible) pour une spécialité parmi tant d’autres : le sorbet (légendaire) à la Guinness (à gauche) qu’accompagnait de fort belle manière celui à la banane (à droite) (n’y voyez surtout aucune allusion politique)…


    « Si on n’a pas goûté de sorbet Guinness à 50 ans on risque pas de rater sa vie mais c’est quand même dommage »…

    Bravo, Stef et Cathy !

    8, place Sadi Carnot (derrière l’église du Port Vieux)
    13600 LA CIOTAT

    Tel : 06 28 25 50 11

    OUVERT DU MARDI AU DIMANCHE
    Fermé en cas de mauvais temps

    Horaires :

    De 9h00 à 19h00 du mardi au samedi
    Et le dimanche de 9h00 à 16h00
    FERME LE LUNDI (closed on monday)

    http://ecumedesglaces.e-monsite.com/

  • Enfin…

    J’attendais cette photo depuis cinq ans…


    (Photo : L’Express)

  • Charles Pitts (RIP)

    Cette semaine le guitariste Charles Pitts nous a quittés. Pour mémoire, generic le voici avec Isaac Hayes à Montreux. Shaft with Charles Pitts on the guitare !

  • Orchestre d’Ukulele de Grande-Bretagne

    Ami-e-s mélomanes, connaissiez-vous l’Orchestre d’Ukulele de Grande-Bretagne ? Eh bien les voici. Je vous laisse apprécier !…

  • Espérances…

    http://youtu.be/aNDDKU1cTWk

  • L’Apple II a trente-cinq ans !

    Apple II ? Qu’est-ce donc ?…

    Une machine formidable certainement à l’origine de la légende d’Apple. Je me souviens de celui que j’avais racheté d’occasion à l’un de mes cousins – je l’ai toujours dans un carton (l’Apple II, pas mon cousin) : le moniteur posé sur le prolongement du clavier et les deux lecteurs de disquette souples 5 pouces 1/4…

    Evidemment, si l’on se met à comparer les performances de cet ordinateur, nous risquons de les trouver à des années-lumière des technologies contemporaines. Il n’empêche, en replaçant les choses dans leur contexte, cet appareil, l’Apple II, mit véritablement Apple sur les rails du succès que l’on connaît aujourd’hui.

    Rappelons que le premier ordinateur conçu par les deux Steve (Wozniak et le regretté Jobs) fut l’Apple I :

    Sortie : avvril 1976
    Production : 200 unités
    Processeur MOS Technology 6502 (8 bits)
    Prix : 666,66 $
    Fin de production : mars 1977

    En avril 1977 sortit l’Apple II : l’un des ordinateurs qui fut le premier fabriqué à grande échelle. L’ordinateur comportait un tableur (VisiCalc) qui ouvrit les portes de l’Apple II au monde professionnel (ce qui ne fut pas négligeable à cette période d’existence de l’entreprise Apple).

    Dans les années 1980 de nouvelles versions virent le jour et l’Apple II fut vendu jusqu’en 1993 !!! L’architecture du processeur était toujours à 8 bits. Ainsi fut présenté l’Apple IIe (« e » pour « enhanced », « amélioré ») muni de nouvelles puces, avec une RAM de 64 Ko extensible à 128 Ko (!!!), en option, une carte « 80 colonnes », et prenait en compte majuscules et minuscules. C’est ce modèle que j’ai dans un carton :

    • Processeur : MOS Technology 6502 8 bit à 1 MHz
    • Bus système : 1 MHz
    • RAM : 64 Ko, extensible à 128 Ko
    • ROM : 16 Ko
    • Affichage : 24×40 caractères. couleur 1 bit (monochrome) en 560×192, 6 couleurs en 280×192, couleur 4 bit (16 couleurs) en 140×192
    • Son : Haut parleur interne
    • Lecteur : disquette, cassettes audio
    • Slots d’extension : 8 ports propriétaires
    • Ports : sortie vidéo composite

    Au démarrage, selon mes souvenirs lointains, sur l’une des disquettes se trouvait le système d’exploitation. Sur le deuxième lecteur on mettait la disquette contenant le programme (utilitaires ou jeux). Pour imprimer, j’avais une imprimante à aiguilles LX 800, d’Epson (9 aiguilles. Résolution 10x12cpi. Avec système d’entraînement pour listing).

    Le 24 janvier 1984 sera lancé le premier Macintosh : le Macintosh 128K. Il constitue le premier succès commercial pour un ordinateur utilisant une souris et une interface graphique (au lieu d’une interface en ligne de commande). Mais ça, c’est une autre histoire…

    L’Apple IIe… Toute une époque… Passionnante période où l’informatique fit son entrée dans mon existence. Une pomme aux couleurs de l’arc-en-ciel la surplombait. C’était le début d’une longue et belle histoire…

    Joyeux anniversaire l’Apple II ! Et longue vie à Apple Inc. !

  • Je sais, je sais…

    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=YDuld41PCV8

  • Irgendwo auf der Welt…

    Irgendwo auf der Welt…

    Je ne sais pourquoi, ce soir, en revenant de l’école, me sont revenues en mémoire ces magnifiques paroles d’une chanson issue du répertoire chanté par les Comedian Harmonists. Une formation dont j’ai réellement fait connaissance après avoir vu le magnifique film éponyme de Joseph Vilsmaier.

    Cette histoire vraie est très bien retranscrite dans cette production. Le thème : Berlin 1927. Le jeune Harry Frommermann rêve d’adapter le jazz et ses rythmes syncopés à la langue allemande. Il passe une annonce dans la presse locale et c’est alors que se forme un groupe de six chanteurs. Un succès phénoménal les attend et les pousse à entamer une tournée en Amérique. Le retour triomphal est entaché par la montée du nazisme : trois des musiciens sont juifs

     

    Et ces paroles alors ? Il s’agit du début de la chanson « Ingendwo auf der Welt », Quelque part dans le monde :

    Irgendwo auf der Welt Gibt’s ein kleines bißchen Glück, Und ich träum’ davon in jedem Augenblick.
    Irgendwo auf der Welt Gibt’s ein bißchen Seligkeit,
    Und ich träum’ davon schon lange lange Zeit.

    Quelque part dans le monde il y a un peu de chance,
    et j’en rêve à chaque instant.

    Quelque part dans le monde, il y a un peu de bonheur,
    et j’en rêve depuis très longtemps
    .

     

    Autre très belle chanson de cette formation : « Gib mir den letzten Abschiedskuss », que l’on retrouve dans cet extrait du film de Joseph Vilsmaier. Un passage emblématique. En pleine montée du nazisme, un officiel du régime vient d’annoncer à la salle que dans ce groupe il y avait des chanteurs Juifs. Certains spectateurs ont alors quitté la salle. Les Comedian Harmonists interprètent leur chanson. Je vous laisse apprécier ce passage poignant…

    http://youtu.be/C0x0of13kfA

    (Précisons que lors de chaque passage chanté, ce sont les « vrais » Comedian Harmonists que nous entendons).

    Le DVD du film : Réalisateur : Joseph Vilsmaier – Universal Pictures – DVD sorti le 22 août 2000 – Durée 124 minutes – ASIN : B00004YV89

    – http://www.comedian-harmonists.de/

    La page Wikipedia sur le film de J. Vilsmaier

    – Le site officiel du film 

    IMDb

     

    Les Comedian Harmonists :

    Robert « Bob » Biberti – Bass
    * 05.06.1902 (Berlin) – † 02.11.1985 (Berlin)
    Roman Cycowski – Baryton
    * 24.01.1901 (Tussyn) – † 09.11.1998 (Palm Springs)
    Harry Frommermann – 3. Ténor / Buffo
    * 12.10.1906 (Berlin) – † 29.10.1975 (Brème)
    Erich Abraham Collin – 2. Ténor
    * 26.08.1899 (Berlin) – † 28. April 1961 (Los Angeles)
    Asparuch « Ari » Leschnikoff 1. Ténor
    * 16.06.1897 (Chaskovo) – † 31.07.1978 (Sofia)
    Erwin Bootz – Klavier / Piano
    * 05.06.1902 (Stettin) – † 27.12.1982 (Hambourg)

  • Raymond Samuel dit Aubrac

    Grand parmi les Grands, Raymon Aubrac s’en est allé, hier soir, à l’âge de 97 ans…

     Petit hommage en trois tweets :

    Pas de bol. Raymond Aubrac est mort juste avant la libération… [@DidierPorte]

    R. Aubrac nous quitte et rejoint Lucie. D’eux, il ne faut pas garder seulement le souvenir mais aussi l’esprit de résistance et de liberté  [@harlemdesir]

    Les époux Aubrac à nouveau réunis, et cette fois pour de bon. Raymond Samuel dit Aubrac (31 juillet 1914 – 10 avril 2012) [@Maitre_Eolas]